Certificat d'immatriculation
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Ingenium,
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- TYPE D’OBJET
- S/O
- DATE
- 1984
- NUMÉRO DE L’ARTEFACT
- 2010.0104.001
- FABRICANT
- Inconnu
- MODÈLE
- 1B4J/ CAPRI 399/ Moto-Ski
- EMPLACEMENT
- Inconnu
Plus d’information
Renseignements généraux
- Nº de série
- S/O
- Nº de partie
- 1
- Nombre total de parties
- 1
- Ou
- S/O
- Brevets
- S/O
- Description générale
- cardstock
Dimensions
Remarque : Cette information reflète la taille générale pour l’entreposage et ne représente pas nécessairement les véritables dimensions de l’objet.
- Longueur
- 9,8 cm
- Largeur
- 6,5 cm
- Hauteur
- S/O
- Épaisseur
- S/O
- Poids
- S/O
- Diamètre
- S/O
- Volume
- S/O
Lexique
- Groupe
- Transports terrestres motorisés
- Catégorie
- Divers
- Sous-catégorie
- S/O
Fabricant
- Ou
- Inconnu
- Pays
- Inconnu
- État/province
- Inconnu
- Ville
- Inconnu
Contexte
- Pays
- Canada
- État/province
- Québec
- Période
- 1984
- Canada
-
Motoneige qui incarne bien le phénomène de l'industrie de la motoneige à son apogée au Canada et la culture du nouveau sport de la motoneige pratiqué par de plus en plus de Canadiens vers la fin des années 1960-début 1970. La motoneige fut achetée au garage Robert Viau situé à St-Pascal-Baylon par un couple habitant le village de Bourget, deux localités situées dans l'est ontarien. Au moment de l'achat, M. Charles Laroche avait alors 23 ans et son épouse Francine, 19 ans. Il était mécanicien au garage Laroche à Bourget. (ou Lafleur). Sa première motoneige était une Sno Jet mais elle fut volée. Il a donc acheté la Moto-Ski en remplacement avec le remboursement de l'assurance. Son choix quant à la marque de motoneige reposait sur deux facteurs : il connaissait la performance de la Moto-Ski car un ami en avait une, et il aurait été impossible d'avoir une autre Sno-Jet en 1971 car deux exemplaires seulement étaient disponibles par saison chez les vendeurs. A l'époque, en Ontario, les motoneigistes n'avaient pas besoin d'enregistrer leurs véhicules. En 1971, environ 40% du marché canadien des motoneiges était localisé en Ontario et 45% au Québec. Cette année représente aussi le pic du nombre de ventes de motoneiges au Canada avec 152 000 ventes. (Ref:Don Lumley, Motorized Snow Vehicles in Canada: from 1920 to 2000, National Museum of Science and Technology, Ottawa, June 2001, p. 23, tableau Snowmobile Retail Sales 1968-2000.) Le couple Laroche a beaucoup profité de leur motoneige au cours des 2 ou 3 hivers suivant l'achat puis beaucoup moins par après car M. Laroche travaillant au froid, il avait moins le goût d'être encore dehors au froid. Le prix d'achat initial de la motoneige était d'environ $820 à $840. Les Laroche avaient déjà des vêtements pour la Sno Jet mais décidèrent d'acheter des vêtements Moto-Ski assortis à leur nouvelle motoneige. Les combinaisons coûtaient environ $100 ou $125 chacune. Cette décision relevait de l'importance du costume dans la culture de la motoneige. Cette époque, c'était l'âge d'or de la motoneige au Canada. Plusieurs manufacturiers fabriquaient des motoneiges. Les consommateurs étaient nombreux. On vit l'apparition des clubs de motoneigistes qui se formèrent pour contrôler ce nouvel engouement et limiter les promenades aux sentiers désignés. Comme tant d'autres Canadiens, M. et Mme Laroche faisaient partie d'un club de motoneigistes, L'Étoile du Nord, de Bourget. En 1974, le Conseil canadien des organismes de motoneigistes fut formé avec des représentants de toutes les provinces et territoires. Depuis, la pratique de ce loisir compte pour beaucoup dans l'industrie du tourisme au Canada. - Fonction
-
Proof of ownership. - Technique
-
Plusieurs inventeurs canadiens depuis l'avènement du moteur à combustion interne ont proposé diverses versions de véhicules motorisés pour le transport en hiver sur la neige, que ce soit des motoneiges, autos-neige, " motor toboggans " ou " snowplanes ". A ce sujet, un rapport de recherche de Don Lumley, Motorized Snow Vehicles in Canada commissionné par notre musée en 2001, relate les principaux développements au Canada. En date de 2002, environ 432 brevets auraient été accordés au Canada pour ce type de véhicules depuis 1920, nombre qui reflète bien l'importance du rôle joué par le Canada dans ce domaine. Ultimement, un design, celui du Ski-Doo de Bombardier, deviendra la norme pour les petits véhicules personnels- légers, avec le moteur à l'avant, un système de chenilles, des skis à l'avant, un pare-brise, une suspension et un capot (hood) en fibre de verre. Ce design sera raffiné encore et toujours par après par les divers manufacturiers. Plusieurs manufacturiers ont proliféré au Canada et dans le monde au cours des années 1960. En 1960, au Canada, ils étaient 10. Ce nombre augmente à plus de 150 firmes à travers le monde au cours de la même décennie, dont au moins 85 firmes canadiennes. C'était l'âge d'or des motoneiges. Les véhicules étaient dorénavant proposés comme moyen de transport récréatif plutôt que fonctionnel. Dans le cas des populations autochtones du Canada, ils devinrent toutefois un moyen de transport important. Une amélioration des conditions de travail au Canada après la Seconde Guerre mondiale permettait en effet cette ouverture sur les sports de loisir pour un plus grand nombre de Canadiens. De plus, vers la fin des années 1960, les véhicules étaient devenus plus légers, plus puissants, confortables et fiables que leurs prédécesseurs, ce qui explique leur succès auprès des consommateurs. Le début des années 1970 fut difficile pour les manufacturiers de motoneiges partout dans le monde, surtout après 1972, en raison de la saturation du marché, une surproduction, une législation sur le niveau sonore des motoneiges, et des préoccupations environnementales. Dès 1970, la plupart des plus importants manufacturiers canadiens de cette industrie étaient devenus la propriété d'intérêts américains sauf Bombardier. En 1977, l'industrie de la motoneige se concentrait désormais entre les mains de six grands manufacturiers (Yamaha, Polaris, Arctic Cat, John Deere, Kawasaki et Bombardier) dont Bombardier au Canada. En 1984, ils n'étaient plus que quatre ou cinq et Bombardier était la seule entreprise canadienne. Continued in notes. - Notes sur la région
-
Inconnu
Détails
- Marques
- See scanned image.
- Manque
- S/O
- Fini
- White and yellow cardstock with black and red print.
- Décoration
- S/O
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Fabricant inconnu, Certificat d'immatriculation, 1984, Numéro de l'artefact 2010.0104, Ingenium - Musées des sciences et de l'innovation du Canada, http://collections.ingeniumcanada.org/fr/id/2010.0104.001/
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